Premières rencontres & dernières tendances

L'aéroport n'était pas très bondé à cette heure et le passage à la guérite suivit de la récupération des bagages ce firent en vitesse. Le petit groupe de bagagistes poussant la quantité importante de valises qui suivait Pénélope et Amber attirait l'attention des voyageurs curieux.  Pénélope craignais de na pas signé son entrée au Marriott Centre-Ville à temps. Dans ses premiers mois en tant que vampire, il lui était arriver une fois par le passé de ne pas respecter son ''couvre-feu'' naturelle. L’incident n'avait eu que aucunes répercussion fâcheuses, grâce à Amber, mais le danger d'entrer en torpeur dans un milieux non contrôlé lui était apparue plus évident après cette incident. 



Avant d'atteindre le débarcadère des taxis, une ''jeune'' dame en tailleur à peine moins démodés que l'interminable queue de cheval qui pendait négligeament sur son épaule gauche pour se terminer un peu plus bas que ces genoux. D'un autre coté l’œil entraîné de Pénélope remarqua tout de même ces atouts. Sa posture et sa démarche était parfaite et petites taches de rousseur rendait son visage moins pâle sous cette lumière stérile. Tyler, de son coté, avait une tâche à accomplir et voulai s'en débarrasser au plus vite. Elle avait l'enveloppe spécial pour les nouveau venue et le fait que cette Miss Ducharme ait put ainsi obtenir ses droits probatoires en une si courte période éveillait des soupçons à son égard. En l'approchant et afficha sa façade la plus sereine et polie. 

Visage :

Tailleur:

Bon matin mademoiselle Duchenne. Au nom du syndicat des propriétaires terriens et de l'institue des arts de Chicago, je vous souhaite la bienvenue sur notre beau territoire. Le lac Michigan n'est pas l'océan atlantique mais est certes plus propre que l'Hudson. Dans l'enveloppe il y a ce dont vous aurez besoin pour ne pas prendre un mauvais détour et vous ramasser dans le mauvais quartier à rencontrer les mauvaise gens.


Intérieurement Tyler se disait qu'un autre toréador en ville n'apporterait rien de bien nouveau dans l'atmosphère en apparence paisible et monotone de la ville. Elle lui tendit l’enveloppe que son assistante attrapa au vole comme si elle lui avait tendu un poignard et non pas d'innocent morceaux de papier et de plastique. Amber consulta les documents contenues dans l'enveloppe et entreprit également d'insérer la carte SIM s'y trouvant dans le téléphone relier à la ligne affaire pour laissé les deux ''patronnes'' échanger librement.




 

Gekiyaku:

Pénélope regarda la dame s'approcher d'un oeil critique et analysait les moindres détails. Lorsqu'elle s'adressa à elle, la jeune toréador fut piquée au vif. "Comment ça, Duchesne?" Se dit-elle intérieurement. Elle regarda autour d'elle, à la recherche d'une autre personne qui pourrait correspondre à ce nom qui n'était pas le sien. Constatant qu'il n'y avait personne d'autre, elle toisa la dame avec cet air contrarié qui lui est particulier et s'adressa à elle sur le même ton froid et protocolaire utilisé par son interlocutrice.

" Je vous remercie, Madame. J'imagine que vous devez être fatiguée, à cette heure, pour ne pas remarquer l'orthographe correct des noms des gens que vous accueillez. C'est pourquoi je ne vous en tiendrai pas rigueur... aussi, je suis un peu trop pressée pour faire du chichi. Cependant je m'appelle Ducharme, et non Duchesne. Que cela ne se reproduise plus."

Elle lui fit un petit sourire poli et se dirigea sans plus de cérémonie vers le débarcadère des cargaisons, afin de récupérer sa voiture qui voyageait avec elle.

Amber, pinça les lèvres, un peu surprise de la réaction sèche de sa maîtresse, baissa les yeux sur l'enveloppe où était inscrit le nom de Pénélope et remontra l'orthographe à Tyler, afin qu'elle se rende compte de son erreur vexante. Elle haussa les épaules et s'engagea dans le sillage de Pénélope vers la voiture qui les mènerait à l'hôtel.

Tyler regarda immédiatement sur son organiseur et remarqua qu'on y avait belle et bien écrit Duchenne. L'un des ces abrutis d'assistant avait laissé l'auto correction glisser cette erreur grossière dans son planning qui l'humiliait maintenant. Elle broyat le  petit appareille électronique entre ces mains délicate, à défaut de pouvoir l'encastré dans le front de cette petite effronté qui lui agitait l'enveloppe sous le nez. Le geste fut si puisant et soudain qu'un œille non entraîner n'aurai vue que l'appareille exploser par lui-même dans sa main ouverte.


 
Et bien à défaut de sabrer un bouteille champagne pour votre arrivée. Il y a un à qui je vais faire sauter la tête comme un bouchons pour avoir couper les coin rond dans ses tâches cléricales. Voulez-vous que je vous envoie la vidéo sur votre téléphone quand se sera fait?


[...]

Gekiyaku: